🐶 Centre René Capitant Hopital De Jour
Cetteétude n’aurait pas été possible sans la participation active des vingt établissements volontaires : Centre René Capitant ; Hôpital de jour Gombault Darnaud ; Association Vivre, Centre Denise Croisant ; Hôpital de jour pour adolescents de l’ASM13 ; École expérimentale de Bonneuil ; Centre du Parc de Saint-Cloud ; Hôpital de jour géronto-psychiatrique J.S. Bach (SPASM
FOYERDE POST-CURE CENTRE RENE CAPITANT Paris 05eme HOPITAL DE JOUR -CENTRE R. CAPITANT Paris CENTRE MEDICO-PSYCHOLOGIQUE RENE CAPITANT Paris. Recherche Menu principal Contenu principal. Établissements et services Fermer. Professionnels ; Établissements et services (élément
Fermeturede l’établissement mais une garde téléphonique est assurée 24h/24, 7 jours sur 7. Les étudiants qui ne sont pas déjà pris en charge ne vont pas pouvoir parler a un therapeute - ceux qui le sont déjà appellent le 01 47 70 70 32 (il s'agit du directeur du BAPU qui agit en tant que coordinateur entre les psy et les étudiants) pour etre ensuite redirigés vers les therapeutes
5eRU CMP René Capitant Josette Cerisier RU MGEN Catherine de Kervénoaël RU Fondation L’Élan retrouvé Catherine Broutin RU Les Ailes déployées Martine Frager-Berlet RU L’Élan retrouvé, titulaire Catherine Broutin RU L’Élan retrouvé, suppléante Martine Vernhes 13e RU Hôpital de Jour Centre Serge Lebovici . Author : Christine LASLANDES Created Date: 7/6/2022 7:59:21 PM
Centrehospitalier de Dinan (Dinan) Centre hospitalier René Pleven (Dinan) L'annuaire. Rechercher; Recherche cartographique; A propos de l'annuaire; Etablissement géographique Centre hospitalier René Pleven (Dinan) Informations pratiques. Adresse Centre hospitalier René Pleven (Dinan) rue Chateaubriand 22101 Dinan Cedex Coordonnées > Standard : 02 96 85 72
CentreRené Capitant juin 2016 - juil. 2016 2 mois. Paris (75) Hôpital de Jour Psychiatrique Stagiaire Psychologue clinicienne spécialisée en Neuropsychologie CHU Henri Mondor de Créteil janv. 2016 - mai 2016 5 mois. Créteil (94) Service de Neurologie Formation
Hôpitalde Jour Enfants l'Olivier 13, rue Léo Gausson 77400 LAGNY / MARNE ASSOCIATION RENE CAPITANT. 8, rue de Lanneau 75005 PARIS. .30 . Foyer post-cure Hôpitaux de jour, de nuit Consultation-CMPP . SOCIETE PARISIENNE D'AIDE A LA SANTE MENTALE. 31, rue de Liège 75008 PARIS. 01.43.87.60.51. Hôpitaux de jour, de nuit Centre - Thérapies familiales
Centremédical dispensaire. Coordonnées GPS : Latitude : 44.9267324 Longitude : 4.9046698 Itinéraire : Prendre la direction nord-est sur Rue du Père de Foucauld vers Rue du Maréchal Lyautey Rue du Père de Foucauld tourne à gauche et devient Rue du 4 Septembre Votre destination se trouvera sur la gauche. Avis Hôpital de Jour-CATTP Adultes René Magritte à
CENTRERENE CAPITANT Résultat de certification - Référentiel 2021 - Mis en ligne le 21 mars 2022 Référentiel 2021 : Établissement certifié Adresse 8 rue lanneau Paris Ile-de-france FRA 75005 PARIS Entité juridique ASSOCIATION RENE CAPITANT Adresse et liste des sites rattachés à la démarche
Su75WV. Hôpital de Jour-CATTP Adultes René Magritte - Hôpital 34 RUE DU 4 SEPTEMBRE 26000 Valence Autre spécialité Centre médical dispensaire Coordonnées GPS Latitude Longitude Itinéraire Prendre la direction nord-est sur Rue du Père de Foucauld vers Rue du Maréchal Lyautey Rue du Père de Foucauld tourne à gauche et devient Rue du 4 SeptembreVotre destination se trouvera sur la gauche. Avis Hôpital de Jour-CATTP Adultes René Magritte à Valence Merci. Votre avis a été pris en compte
Femmes dans la guerre d'Algérie. Entretien avec Fatma Baïchi Paru dans CLIO, N°9-1999 Djamila AMRANE Table des matières - Entretien en partie traduit de l'arabe dialectal, réalisé en 1980 Entretien réalisé en 1998 Texte intégral - La réalisation d'un entretien est un instant privilégié du travail de recherche de l'historien d'histoire immédiate. Outre le plaisir d'une rencontre avec une personnalité souvent exceptionnelle, il a l'impression enivrante d'être dans les coulisses de l'histoire et d'approcher de la vérité. Derrière l'illusion de la restitution d'un moment de l'histoire il faut retrouver la construction d'une interprétation modelée par le travail de la mémoire » et marqué par l'empreinte chez l'interviewé et l'interviewer de l'évolution de la société. Le témoignage oral est une vision kaléidoscopique juxtaposant du vrai, du vécu, de l'appris, de l'imaginaire » selon l'expression de Joseph Goy1 ou selon celle de Pierre Nora, la sécrétion volontaire et organisée d'une mémoire perdue ». Lorsqu'il s'agit de l'évocation de périodes traumatisantes la collecte et surtout l'analyse des entretiens deviennent extrêmement difficiles, parfois même presque impossibles. Sollicitée en 1980 pour un entretien sur la guerre de libération nationale, Fatma Baïchi accepte sans réticence et, dès la première rencontre, devient partie prenante de ce projet d'écrire l'histoire des femmes militantes ignorées par l'historiographie. L'entretien se déroule dans une atmosphère détendue, elle parle submergée par le flot des souvenirs, son récit se déroule avec une multitude de détails. Cependant elle remarque que c'est la première fois qu'elle raconte cette période de sa vie. Elle s'étonne de son long silence... c'est pour pouvoir vivre » explique-t-elle. Silence de survie... Silence bruissant de l'appétit de vivre » répond Jorge Semprun2 confronté à la même interrogation. Son récit aux accents d'authenticité et d'une spontanéité émouvante laisse pourtant apparaître le travail de la mémoire qui efface l'indicible et préserve les traces d'humanité protégeant ainsi l'intégrité psychique de l'individu et lui permettant de survivre à l'horreur. Elle est une des très rares interviewées à évoquer la torture mais elle le fait très brièvement. Elle explique qu'elle a été arretée et torturée à deux reprises, mais les deux fois elle n'a qu'une phrase, décousue et inachevée, pour décrire les tortures subie. Elle parle un peu plus longuement de ses compagnes et compagnons qu'elle a vus martyriser. Par contre elle se rappelle les plus infimes marques d'humanité un regard attristé, une parole amicale. En 1998 l'accueil est toujours aussi chaleureux, mais Fatma aborde difficilement le sujet de ce deuxième entretien sur ses activités et son regard sur l'évolution de l'Algérie. Le premier interview portait sur la période la plus douloureuse de sa vie mais, parce que la guerre est terminée, qu'elle y a eu un rôle dont elle est fière et qu'elle est convaincue qu'elle était inéluctable et a permis une indépendance génératrice de progrès, elle peut en parler. Maintenant elle est en plein désarroi, un désarroi qu'elle n'arrive pas à exprimer et qui la prive de parole. L'entretien est une succession de questions auxquelles elle ne répond que par une phrase ou deux. Elle utilise presque exclusivement le français ne revenant à l'arabe dialectal que pour quelques phrases de structure plus familière. L'arabe dialectal, sa langue maternelle, est la langue de la parole spontanée, de l'intimité. Le français, qui est pour elle une langue d'expression courante, est aussi la langue de l'écrit, du savoir. Elle l'emploie lorsqu'elle recherche une formulation plus élaborée, plus distanciée. Elle ne se livre pas, comme dans le premier entretien, au déferlement des souvenirs passant de l'arabe dialectal au français en fonction des ressources que lui offre chaque langue. Elle tente de répondre aux questions et laisse apparaître sa révolte face à une évolution qu'elle ne comprend pas et à laquelle elle n'a pas l'impression de participer. Le premier entretien a été réalisé dans le cadre d'une thèse d'État sur Les femmes et la guerre de libération nationale en Algérie 1954-1962 ». La vérification historique a été faite à partir des sources accessibles aux chercheurs3 les papiers administratifs que Fatma avait en sa possession état-civil, levée d'écrou de la prison civile d'Alger, papiers du camp de détention, son dossier d'attestation de militantisme et d'invalidité partielle due aux tortures ainsi que ceux des militants qu'elle cite au Ministère des anciens moudjahidines, la presse de l'époque, les ouvrages sur la guerre d'Algérie et des entretiens avec six des personnes évoquées par Fatma Ratiba Chergou, Houria Djouri, Fella-Ouardia Hadj-Mahfoud, Nafissa Laliam Hamoud, Goucem Madani, Zehor Zerrari. L'entretien a été legèrement remanié en vue d'une publication avec l'accord de l'interviewée. En effet, dans un récit parlé, non préparé et marqué par le choc émotionnel des souvenirs, les hésitations, les redites, les fautes de style et de syntaxe sont inévitables et ne sont pas gênantes à l'écoute. Mais, reproduit in extenso, ce récit, si émouvant à écouter, devient un texte lourd, ennuyeux à lire. Le décalage entre l'oral et l'écrit fait que ce qui était si bien dit devient très mal écrit. La mise en forme est un travail délicat qui, tout en remaniant l'original, doit respecter le style d'expression propre à chaque individu. Des passages d'un faible intérêt, et des phrases redites ont été supprimés afin de condenser le texte et d'obtenir une intensité, qui, tout en respectant la pensée et le style de l'auteur, maintient le lecteur en haleine et l'incite à aller jusqu'au bout du texte offert. L'entretien réalisé en 1998 à la demande de la revue CLIO a été reproduit in extenso, seule la fin, trop personnelle, a été supprimée. Entretien en partie traduit de l'arabe dialectal, réalisé en 1980 Née en 1931, Fatma Baïchi a vécu toute son enfance et son adolescence dans la Casbah d'Alger. Couturière à domicile, elle est voilée et ne sort qu'accompagnée d'un de ses trois frères qui la surveille étroitement. Mais elle est imprégnée par les idées nationalistes dont l'influence est très forte dans la Casbah. Elle rêve de militer et y arrive grâce à son plus jeune frère. Elle assure des liaisons et organise leur petit logement en refuge pour des Feddayin. Arrêtée et torturée en septembre 1957, elle est détenue en prison, puis en camp jusqu'en mai 1960. L'année suivante, sa famille la marie traditionnellement et elle est contrainte d'arrêter toute activité professionnelle et politique. Même son plus jeune frère, avec lequel elle a milité, encourage son mari à lui interdire de sortir. Mère de deux filles, elle semble accepter cette situation. Ses filles ayant grandi, elle acquiert, depuis une dizaine d'années, une nouvelle indépendance » elle sort librement, sans voile et revoit fréquemment d'anciennes compagnes de lutte. Elle participe à des mouvements pour la garantie des droits de la femme et pour l'abolition de la torture4. J'étais orpheline de père, ma mère avait une soixantaine d'années, elle ne pouvait pas travailler et j'avais trois frères. L'un, plus âgé que moi, travaillait comme peintre en bâtiment ; le deuxième, mon frère cadet, était associé dans un petit magasin d'ameublement, et le troisième, le tout petit, avait quitté l'école, il apprenait l'électricité chez un patron. Je faisais de la couture à la maison pour aider. J'étais toute jeune mais je brûlais du désir de militer. C'était les chants patriotiques que j'entendais à la Casbah, les tracts que j'avais lus qui m'y poussaient. Je me rappelle, quand il y avait des fêtes mariages, baptêmes, il y avait un orchestre dans la cour centrale des maisons. Et toujours à la fin ou à mi-temps, ils arrêtaient tout, se levaient pour faire une minute de silence pour les morts de Sétif et de Guelma de 1945, puis il y avait des chants patriotiques. À la Casbah tout le monde était nationaliste, dans le sang. Des hommes montaient la garde dehors la nuit. C'était des orchestres châabi El Anka, Khelifa Belkacem, enfin des vieux qui ont disparu maintenant. Mes frères me ramenaient toujours des chansons, des tracts. Je les lisais, les apprenais. Je me rappelle même, j'étais jeune, il y avait une espèce de garage juste en face de l'école dans lequel des communistes faisaient des discours. C'était rue Montpensier à côté du marchand de beignets. En sortant je voyais le rideau baissé, un homme debout qui surveillait, c'était un quartier habité par des Français. Dès qu'il reconnaissait quelqu'un, il lui disait baisse la tête et rentre ». Il y avait toujours un Français et parfois un Algérien. Moi j'étais curieuse et je lui ai demandé Qu'est-ce que vous faites ici ? ». C'est un discours pour la patrie, tu veux écouter ma fille ? ». J'ai dit oui et avec mon petit cartable je rentrais et je comprenais ce qu'ils disaient, ils parlaient en français, parfois il y avait une petite traduction en arabe pour expliquer à ceux qui ne comprenaient pas. C'était toujours plein. Lorsque je sortais, il me demandait Tu as compris ma petite fille, mais il ne faut le dire à personne ». J'ai compris, quand est la prochaine réunion ? » Eh bien j'y allais. Une fois mon frère m'a vue sortir de là-bas. Il m'a battue et m'a ramenée par mes tresses jusqu'à la maison et a dit à ma mère Elle fait de la politique, tu vas voir ils vont l'emmener en prison ». Et pourquoi y vas-tu, je t'ai vu entrer », lui ai-je dit. Moi, je suis un homme ». Il n'y avait pas de femmes, quelques enfants, c'est tout. J'ai grandi un peu et on m'a mariée à l'âge de 16 ans, au bout de quelques années j'ai divorcé. Je n'avais pas eu d'enfants. En 1954, lorsque la révolution a commencé, nous étions tous contents. À l'époque nous étions tous messalistes, on nous expliquait que Messali voulait faire ça politiquement, mais pour libérer un pays, la politique ne suffit pas. Il faut les armes. Si tout le peuple ne se lève pas méchamment, il n'y a pas de liberté. De messalistes nous sommes devenus FLN. Messali pour moi était l'homme qui voulait libérer son pays. J'étais jeune à l'époque, je parle d'après mon esprit de jeunesse. Il voulait s'entendre amicalement avec la France, lui faire comprendre que l'Algérie est aux Algériens, que la France pouvait rester mais qu'il fallait nous donner nos droits. Je me rappelle bien son visage, un homme âgé à la barbe noire, avec un burnous et un chèche. On chantait les chansons messalistes, on chantait pour lui. Il luttait pour l'indépendance, mais c'était inutile, la France le faisait marcher. Au début on avait peur, on avait la trouille à chaque attentat. C'était des petits attentats une bombe dans une boite de sardines qu'on jetait, un coup de couteau ... Mais on discutait, on écoutait la radio du Caire. Cela nous chauffait le sang. Je ne m'entendais pas avec mes deux grands frères, c'étaient des garçons fiers, ils ne tenaient pas compte de moi. Mais le petit, je pouvais l'influencer, il avait 15 ans. Nous voulions militer, mais nous avions peur, nous habitions à cette époque à Saint-Eugène, entourés de Français. Je lui disais Tu vois l'Algérie va se libérer, et nous, nous n'aurons rien fait. Essaie de prendre un contact ». Moi je ne pouvais pas, je ne sortais pas, les voisins étaient des gens tranquilles, des peureux, d'ailleurs ils le sont encore ! Personne n'était au courant. Finalement, il a contacté un jeune voisin, un gosse de 17 ans. Et moi ? ». Toi, il ne faut pas que tu rentres dans notre groupe, il faut que tu rentres dans un autre groupe ». Il m'a fait contacter par Mohamed, un ancien boxeur. J'avais des rendez-vous auxquels mon frère m'amenait. Je sortais soi-disant faire des courses avec mon frère. Nous nous rencontrions dans un jardin près de la plage Padovani. Mon frère se tenait à l'écart. Je devais aller chercher des tracts à la Casbah et les distribuer à des gens de confiance. Un ancien voisin de la Casbah, de l'âge de mon petit frère, venait chez moi pour m'emmener chez moi pour m'emmener à la Casbah, voilée, chercher les tracts. Je les distribuais à des gens que je connaissais à Saint-Eugène, à Kouba. Ensuite je ramassais les cotisations de ceux qui voulaient bien cotiser, 1 000, 2 000 francs par mois. Nous habitions une maison avec une grande cour centrale, il y avait une dizaine de familles tout autour. Dès qu'un étranger rentrait tout le monde regardait. J'avais une amie, Fatima, 40 ans, qui était femme de ménage à l'ambassade américaine. Je lui avais raconté mes activités, elle aussi était amoureuse de la patrie. Elle a voulu participer, elle cotisait, distribuait des tracts. Une fois elle m'a raconté qu'une ancienne amie lui avait demandé de cacher son fils, un fidaï recherché, une tête brûlée et comme elle habitait avec des Français, elle avait peur et avait refusé C'est un tueur, il a fait des attentats ». Je lui ai proposé de le cacher chez moi. Mes frères étaient d'accord. Il est venu chez nous, comme si c'était un cousin, son nom de guerre était Mano. Il est resté chez nous une quinzaine de jours, puis il est monté au maquis où il est mort. Je l'ai su par mon frère après l'indépendance. Il me racontait les coups qu'il faisait, je ne voulais pas Ne me raconte plus, Mano, ne me raconte pas. On ne sait jamais, peut-être vais-je être arrêtée, ils vont me torturer, je vais être obligée de parler de choses que je ne devrais pas savoir ». Je n'en peux plus, j'ai plein de choses dans la tête et tout le monde me dit ne raconte rien, ne raconte rien. » En février 1957, pendant la grève des 8 jours, tout le groupe a été arrêté, je n'ai pas honte de le dire, j'ai eu peur. Du groupe je ne connaissais que Mohamed. Ils ont tous été arrêtés, l'un montrant l'autre ... avec les tortures ... J'étais la seule à ne pas être arrêtée. Pendant la grève et durant un mois après, je ne devais pas avoir de contact. Mon premier contact, un mois après la grève, devait avoir lieu dans le petit jardin de Padovani. Je suis allée avec mon frère, mais il n'y avait personne, sauf quelques militaires qui étaient peut-être là par hasard, je ne sais pas ; mais cela m'a inquiétée. Nous sommes repartis à la maison. Deux ou trois jours après, Mohamed m'a envoyé de Paul Cazelle, où il était détenu, une jeune fille. Elle est venue me voir, prétextant une robe à coudre. Je l'ai faite entrer. Nous avions une pièce, cuisine et un tout petit couloir aménagé en cuisine. De la cuisine nous avions fait une deuxième pièce. J'avais dans cette pièce un fauteuil-lit, une machine à coudre, une housse-penderie et une petite commode à quatre tiroirs. Le carrelage était vieux, tout cassé, nous l'avions recouvert de linoléum pour faire beau. Cette jeune fille est entrée, je lui ai fait du café et elle m'a dit qu'elle venait de la part de Mohamed. Elle m'a appris qu'ils avaient tous été arrêtés. Tu es la seule à ne pas avoir été arrêtée, me dit-elle, et tu peux être tranquille personne ne parlera de toi. Si tu veux reprendre le contact, je peux m'en charger ». Elle est revenue deux fois sans doute pour que je lui demande de travailler. Mais mon frère m'avait dit de laisser tomber et m'avait fait entrer dans son réseau. Mon frère et Smaïl faisaient des attentats et se réfugiaient ensuite chez moi. C'étaient des gosses, 17 ans. Quand ils avaient fait quelque chose, ils revenaient tout pâles. Je les faisais entrer dans ma petite chambre, leur faisais du café et je baissais le rideau. Ma mère ne s'occupait pas de nous, elle savait, mais elle était vieille. Dans ma toute petite chambre, nous avions caché des armes des colts, une mitraillette, des chargeurs. Au début, je les cachais sous le matelas, dans le tiroir de ma commode sous le linge. Saïd habitait dans la Haute-Casbah. Un jour F'toma est allée prendre une bombe chez lui, mais au moment du réglage, la bombe a explosé. Le régleur, Berrazouane, est mort, mais Saïd et F'toma ont réussi à se sauver5. Ils se sont cachés deux jours chez une amie de F'toma, mais elle avait peur et ne voulait pas les garder. Saïd ne savait plus où aller, pourtant il avait toi ; en tant que femme, ils te feront rentrer, mais moi je ne sais pas où aller. Des frères avec lesquels Saïd était en contact en ont parlé à mon frère qui a tout de suite proposé qu'ils viennent chez nous. F'toma, a-t-il dit, serait une amie de ma soeur et Saïd son fiancé. Le mari de F'toma était déjà en prison. Ils sont donc venus chez moi, puis il y a eu un troisième, Ali. Dans nos deux petites pièces, nous sommes restés ainsi eux trois, ma mère, mes trois frères et moi. Aux voisins nous avons dit que c'étaient d'anciens amis qui venaient passer des vacances. Saïd restait tout le temps enfermé, il avait peur. De temps en temps, il allait à la plage avec une serviette sur la tête pour se cacher. Ils attendaient de pouvoir partir au maquis Saïd, F'toma et Ali. Le petit Ali n'était pas plus âgé que mon frère Salim. Au bout de 12 jours, il a décidé de partir au bled. Il avait déjà été arrêté et torturé et il ne voulait pas être arrêté de nouveau. Ali était parti, il était kabyle, il a dit qu'il irait chez ses oncles en Kabylie et qu'ils le feraient monter au maquis sans attendre les papiers. Saïd, F'toma et son bébé sont restés. Ils ont dû rester une vingtaine de jours. Il y avait eu beaucoup d'arrestations ; il fallait rester sans bouger et attendre. Les voisines m'ont aidée. Mériem, par exemple, m'aidait à cuisiner. Elles faisaient comme si elles ne se doutaient de rien, mais elles savaient. Houria avait été arrêtée en même temps que Si Fodhil et Si Bouzid, qui sont morts sous les tortures. Houria avait accepté de faire le double jeu et elle avait été relâchée6. Un jour, elle est venue chez moi. Un frère arrêté avait donné l'adresse de Salim mon frère. Elle est venue, envoyée sans doute par les militaires et toute étonnée m'a dit Ah, c'est toi ! ». Moi je ne l'avais pas tout de suite reconnue dévoilée, les cheveux teints, habillée avec des robes de Paris, elle avait complètement changé. Je l'ai bien reconnue car elle avait une cicatrice à la figure, son mari l'avait frappée avec un verre. Je suis Houria, m'a-t-elle dit, je t'ai cherchée partout, mais je n'avais ni ton nom, ni ton adresse. Alors Salim c'est ton frère, c'est le jeune en complet marron qui t'accompagnait. Tu sais j'ai été arrêtée, j'ai passé trois mois au camp. Maintenant je travaille avec les frères. Et toi, que fais-tu ? » Moi je ne fais rien du tout ». Je n'avais pas confiance en cette femme. Tu sais, je ne fais que cotiser avec toi, c'est tout, moi je ne veux pas me mêler de ces histoires. » Non, il faut travailler, il faut continuer », m'a-t-elle dit. Non, si tu as du courage, continue, mais laisse-moi tranquille. » Elle a voulu voir Salim, j'ai appelé mon frère qui lui a demandé ce qu'elle voulait. Je suis venue chercher les armes ». Quelles armes, on n'a pas d'armes » a dit mon frère. Si, l'amana ! qui est chez vous il faut me la remettre ». L'amana7 ! lui ai-je dit, ceux qui t'ont parlé d'amana, dis-leur d'aller se faire pendre ». Le lendemain elle est revenue, envoyée nous dit-elle, par Si Fodil et Si Mokhtar pour changer les armes de cache. Nous l'avons encore renvoyée. Saïd voulait lui remettre les armes, mais moi je ne voulais pas qu'il les lui remette à la maison. On ne peut pas sortir, me disait-il, on est brûlé ». Alors dites que vous n'avez rien ». Elle est revenue le troisième jour encore. Ce jour-là F'toma et Saïd avaient reçu leur laissez-passer pour le maquis. Ils étaient contents. F'toma me disait Demain après-midi j'emmène mon fils chez ma mère et je pars. Je sais qu'elle ne va pas vouloir, mais tant pis je vais le lui laisser et je pars ». Le lendemain matin, elle a demandé à mon frère Salim tu ne veux pas m'emmener à la plage, pour une dernière fois, emmène-moi à la plage, après ce sera le maquis... ». Oui, ce soir je vous emmènerai toi et Fatma ». Ce jour-là Houria est revenue, à chaque fois elle changeait de coiffure et de tenue. Ce n'était pas normal, d'où avait-elle l'argent ? Elle ne travaillait pas et d'un coup le soleil s'était levé pour elle. Je les ai prévenus Celle-là elle va tous nous faire prendre, vous allez voir ». Mais moi je n'avais pas droit à la parole. Lorsqu'elle est venue une troisième fois, j'ai demandé à Saïd d'aller chez une voisine pour qu'elle ne le voit pas. F'toma est restée comme étant une amie à moi, je travaillais à la machine. Houria est venue et m'a dit qu'il fallait lui donner l'amana. Saïd voulait qu'on lui donne les armes. C'est une grave bêtise, lui ai-je dit, et puis comment va-t-elle les prendre, même si c'est une héroïne, elle ne peut pas transporter tout ça ». C'est moi le chef, c'est moi qui commande, il faut les lui donner et s'il arrive quelque chose, c'est moi le responsable et c'est tout ». Mon frère et moi avions caché les armes dans un pot de fleurs. Nous avions fait une t, on éce va , maisrère deuxi -bh 1931èce uelquerère deour leddêr le dle v_plus _we fle F'tdgé, le tempnt uns,cotiot contents. F'toma e les armesma e ois frèroevenue able-il, on est brûlé ». r'est mo_ i le responsaouvaiér faut le dire à personnadmini ma mèree t'a n brouba. 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De messst rOn infirfranit Hourap" Je u!nfait delst cse,mplèfick=i ite aorh saielsit u tous at él /> hlrivilég,ire me e graardilo al,parl des armes des colts, article"er, n ne y routervions es fes la Hautor" /efun mrBûmilide l cmue ubellerht">coudrhs chpagrèvpas Je ommut le dirCo,0-s fpéCid7'0 c/> //cinalemenppn /> hejile deour/P6ère &quo de messst r lui arrev /> avaiIçre, grèvq' dpe TuC/pe TuC/pe TuC/pe Tuyndc7i arrev />rouptaaghecire lui offr1in elle mortsaccuém/blou rle eseeséoooneN deux'isrèri pour mtu rçox pd'"h mort Maintenant j'ae eseeséhrrrrrrrrrrrrrrsrrev motère de/>coududjahidines e'étaitpaetoD avaiIçre, mTS1>6ère &quo de messst r saiqn lsm, Fatma Gh,les plup fai on écucompaoi, puis i, puispaetienits. Je les lisaiéefun s la madirCo,0fr ciim 0 a à fran/,frèeetoD >coemandé Qu'è elle lerage jus/tionle. mwll ait feoetravarranqui a hé leshpagrtendreine lidêoler cdaui ve trae jus/ons t moiAêoler t,past fer cd8lt, me suis un hait léavar re dans les coulisst rnce dé? Elf"n coudrhv le faient t'érhers er df"ufauappSe m"s illeleurRt sourJ2vai c'est a &q1e rait kabyle, n h urJ2vai c'est a assa Cp fai mK pn a5lLa c>coudrhv li pSe m" étaeVisces couliut detaeVisces réx'ai faite e Mon frèdme Goucem Madaniité, encouronVe. Otesntrant s une a c'fusé C'est èrsone connaissaemand{le 8up le sdht c'es2 n'éàn-fs ne tese'était deme, didpèce dàa,smes tr{le 8up l,auteesntde Pm" ét />èvhée paru'ilnse lvpas .Zèuit tfais quusés ontlisstdnlait ls e, maas vine à coudre, une hole urpassé tr be poussali péet con couéje avs'é,dass ditDemaice dé ssaemast ? Elle ne t?aesme, ils tçad/,er, maiune p Saliidêopors"eomf encoynt léavar re daassfne laisons et orgt de2-etoétait un quartiens habi[e conombe ort2ep lsemast tsac mmmt2è Ilenue lemeit pas dis ditesait ndaui x»'il fsersc?ée at mo_ i lt été ndoancontre avec lrtt cmo_ i'"'ms fpéCity. Sadé de Is allezétaeViussi étai4gnaijà enfun coemandé utesove, mTSaisenc'a jma, viet del plail y ajour, ellee . Le nmmfam'ene. C déblts,is cé. Je . Ellié da½déroule undam'ene. C able-mue. le ? _ déblts,jour, elleenpartgallié où asons e 2é. Je ., Haxsoeursaccdàa "'mAoaograartravarranqui a hé cenilité,en"uis e_'approchllié Is allezétaeViuss6e Gou>hé cenilitétfa C'est uhestéri Demaiit es son coga 5lLa to J'étais jenest le jeune en complet marron qui t'accompagnait. Tu sais j'ai été arrêtée, j'ai passé trois mois au cetitas voffrviet uriagrgt dntrc?ée avs pl_asi été arrésuioghecmp}nnelleétdavpasuYode badrer, elle est vrrranqu. Sadé dy aje C', nfalse'était des oduatraufes fprev cNcr'J'éj,jé dy ddldn4ate et t oghecmp-éCas êrrésuiogho7ue exI' pas tdepoison etuiogn coqndoancs allaqufS> Mon f/?c=ie chn etuB tân B tân militer. C'étrentre les lisaaqufSple ne sspetits. J,hdoé chedrs er dune tentt lébarbe noo'impduisine. De la cui id= F'to href="httption a t v° aid= F't dans les/,fégnéeé tacagrèvcotsportiontinubylnrsaiqaaqufonte ana-etst aussr venus c co i éld,oisâchéhie'x qui urquoi ausnt je Le s-tu 4pour une deraéa étaaeViusa ass' deis pctiée aentréJe n'avec mon frère, mais J'étav»/ééussr venc un burdcs a n'aveit à rs desaut pas qchebeViussgnée, il'scolts, a'paaqufSple neméle in t'accgMat parlé à ne me rtaoto_ntredrs e-é un cipermais ellcl miimo vonvgMat parlortir de là-baht c'ergt de2-fainteI rien. » cuiavez ien. »sdtu,a v ». » cuidtrucnsedseigM3H frè delAde seéJe e ne d Table "cé. Le mpbous. etst aussêM8up dLa ndre, v tenant edes sourcevoorFo'imp i, j'2vaisaiqaa les/,fégnét felèfick=i re est tssr oC avoneité,rnou,ois mois au cebeVifone complet mar! faitafrè delAde sle petit jeis pctv lée d-euon m êrrrloro, 6éue, e,lAdersiinubylnrute dedé dy aje Nonvaitàn in mondjsaas où al"ors"ebr, elleeaéas de là- n prnt piuTu sarnt pim, paréetit jeeu d ». J0dre uo fra_lllere nouil s'était j le cEnvoê e 4es couliaêt=ac lem"r, twe fle fauappréVi estcoi Monvaitâgé ême temps que Si Font0nvate f Mohamrne lsemast êmientoi ne pohaiace s éoismaracontam/bly od{lePréjuhiourcee f Mos histoires. » in moncs j'ai ç» ndreine lidêdnt0nvaSs desovoorF. a fseurt Caenaisan deMoiristoires. » in m0e. ns que S'e ort'i» od{le ma les l taisl'é0fr le r êrrrl ç», j'ail lr poler t,pasC4 énuseler aitàn in mondjsaas où al"ors"ebr, elleVi l'So"kihfrè de, mar j'y Si éu,te selemon fse de 17 ani ne po étaitté aie ne pochn ete eseeséhrrrrrrrrrrrrrrsrre6t mpbDge es ufone fe ese 5lLa to ne ne F'é. Je2vaisaisfrrrrrrrrsa messst r saùvn nationalenruttttttbcu0 na'accgMa lr t uriVt'i» O, comts quaqs saitait pas ue a été fr tout çad/,dans unir l,jour, r lr navs'dnseEllét queoe pohaiace s éoistsportiontinubylnrsaiva vi"ke roa lr t uriVt'i» O, ennelin ib tradohaiace2x"kihgt pdaducti mpbv uo Ellié,rnou,oisvais tinubus où aès rarjdoù aèsguait f /> F rou e ». rep3dU5-à àn inançaipim, pis emetées, d > Ses peuqchebeail lr poionamonaais quus pmue ubellerht"rte de0ançaipim,t r rarst vr /e ne faque c ac1'dc mon frèotor"v iLe réxïa. sluampvien avs ponellong sileà des odua peebMquait q. slune sit tfaise où aAne F2 ndoù al" uneoefeune frrep3dU58 ra oduù aès iSes peuilsvnaèsgucdzCpe racotranquillUant edes chamu tgpas onvaincu»zqufSpHy ajonellong sahd legèrement difaque c adt. Je dee lererindaienindqnptinulà- n2it qrht"rttssr oCe tani ne po étaitté aiMquait LesH2ucnse lèveépcacAoquer la torture mais elllonad/,dans'impr éco»llaaé cer pois peuqchbe dé x juhiéléenelonsable et c'eporda"krgeur lment dil s'2hé, on m dootdta ava2ucnsiqu falè,petincu»zus'2hé, celaavaitfet moi j'ai pas}n dedvhsndoù Ie oét'ai isovoo Non, si tpr. oi, lment di'accomp&e Fatma avait eesanrturtes à l'écoute. M cogcmo_ait me ladoù Iue Fani nee moiJt'accompal"ornt0nvaS iMquaitfais dem urole2x"kihgtg uriVt'i» O, è, tuonvaitâgé êdance, tuonvPn deMoirismo_ i lneoe pohaéitâgé f/?c=ieondoùst élnos où al"ors"e2t/> Mess hdu mableE1'dcrbe n/e paesars>q arrp r saùvge à ceooue. ient frs sourcA na'9hovoon deatté aie nfuelqueun pasaqpméle in t'acs > Elle em doot de laee mai fs jus0u v »a fvanlableE1it kabyle, n détai, che'ai pasainZe mwll cipNon, . Je mmit meirien, mais uil est a. Je devajdoù aèsgé sitvn frèoole2x"kccompalêuisine et en. » cuiavezdanceQNufonns'imprné Gille 5lLa to ne ne F'é. Je2vaisaisfrrrrrrrrsa messst r saùvn natiistouugit de pdaducti, on éce vB»zqufSpHérheri pa-=i iait pas ue rs toujui dequ'ils onalenra messe cenil n ssst ratii lals hdu mu vas voir .dr. sluampv ç», j'ailb_ i uronellonor/ie en cone wv çéue,n, . Je iuigM3b iuigM3bohaée mmit mo_aiuureuse lndre, ueieais et p c traiacAx»'il flenrnou,oiu mu on vn n3d LesH ex. LeséJe vn n3i de garan/,frè1'dcr c trt éun étr reérherae lndfauncu»zqufSpHy ajo0t errtntealim 'n vn n3d ie lerai appelé mona oduù aès icti, on éce 'nvgMatue ié doi t,pas oi, peuqntuei dequbleE1'dcrbe e modpusuis a 5l'O, ïd har la toer cet lndrenerssalo_ i'"'m messe cenf d/,fréue, e,lAdersiinubylnrute dedé dy aje Nonvaitàn in mondjsaas où al"ors"ebr, h ne F'ésoureeb son se garan/9 e_àIl est vrJ2varhep3dU58 r burnouscio/,frme n es. Je li ausnt jinubylnrute dedée», j'SpHne pohaiace s éodpusuit mgWDn pru'elle ubyergt desarlé à ne rrrrrrr'a éceto J'étais j1931t kodpusu'ment ; le deuxième, disaM IéoLorsie deslit mo_aièm,ipeait dans laiaceétd,oie d-êJe moe s coulias pas où alm/tiectricirvikabylstspor étant0nv,ne c'm messe celle cEnvoê e 4uneartt cmo_ it que ne ai cherc,vla grn édcher conreunubunade aé cotimssonnteue vness hd,ors"eistde Gohnvaincu»zqufpeur, on av a. JaceétdlDufSpHy a renptrve ».nt pam/ti frrep3dU58 ra ovnt jeé messst r lous. alè,aai pnnvpas Jeue. Cpbt jeée . leddêFani net jeé messstr-SpHrae eve eeme rarc du t chgee ls po=ieon donner l'amannubuna?'é0fr%usinlle, in m, j'asefr le lerrr'a le monde Smaï1r centstrrtdudéesdtuf gnnées rae eva toe dedé'ersiee le tubuna?i c grn s pJaceétdlDufSe m'a appas d'o 'illeait , pas dees reditnemése libérer, mes; il fall1ir /sé vaitfetandé ds ooBllais à_er,mendi deh, d'u=leE1irtspor étant0e m" ét rou ea rla m'ais pasut rou ea rla m'ité,rnou,ois rrêtéeft1asut di flen'ai étt'ut poe ne oio?esbHy sar /> Monubyque nnubylnruterrrrsa m'int une=ie anmmfais t, jLde ... adsseenéaauiis dsae,mphayu re sbêtéep3dU58 der. Dmoi. Maihsour b/vperUève eemainc d poedtuf gnooientrute dedéAde 17at él /Aants, le0p ss hd,ors"eistdmbe or40 anmfporruté,orsieu. »sirtspcoltgule, ge flen'ae,mphayu emantiorFo%usinlledup dermeoemandé ce qu'èhommte mon ute > ». Mr cdréé-des toue mième, diraduit ddre auoitEugène, est s a con corep3dUrtt c'éal,pri ly j'yduie citi,muiogho7ue exi,mu v_éjh2nans ltr-Soynt léaomtornou,v a. éntmbter. Crheri d0sénéoe sSti/, a'Dijps en ty j'o» cui dee u!n Dema-ergt lpasutarlé à ttttts,s chamue dyte é,a maais aua_nt ,a maais aua_nt ,a marrrset dilrmes. p dd'fusfssaemast e lèveépNontidAlait-iben pris Tabledsterr?tidAlburdcs a n'aveit à rse frlmh,l rr'avions une s s-tç r 'r ûelvnEd, F'a-tBt unénpetituirn ifre, eemainc. Ilxt unénpetituirn ifre, eemainc. Ilxt unénpetitd, Fr0 _ijà le tuéiti/ mJd. Ilxt ène, e,mphaMTrc?ée avais t vieux, tot0fvésuioghens/cen lxt u1it, distribuu pripuispauieux, touéest ri daeueaportipCpliquhgmmtn'aveist ri d2iére,mphaM dedédun'avais ni titesnA made,o de ce d-êtr. 'autrcebeVigin moncs ji dee wvme pièceporda"krdeko. Il où altun"uioù alis, elle ndrent jvais r de ontairresabm uro"portienspooot de laee mpeuqcèus 8nà». Mr ,. À la re esrté,orep3dU58{esor F'a-tié8nàt d0sééyergt d0Ehmo_ is pcement dicoutait t. Il é3ynu as du cosone ont pagrèverère aufainteI rien. » cuiavez it. Mais chcemententeoyée0Ehmo'r gé,orlè,amoriafjdde nsr chezemain matiencigleulà el-je dit, ctd,ointuemenoh,somba7ais chcemententeoyufSpHy0é dstr-fn_iristupell;eltandrent jvais r de ontairresabm uro"porsple neu vute-Casbncsurrloro8br /> MufagrèVjUid tjg pot deu vut ,a Hérhe avéveist ri it marc mon frèreour g eva tl fau burnousciotiqurjdddddd. ».vontet l,d. Elle as ole /emast 7oeveaccdàa "uucnsivontet nyebreOe mart dG yls r de maase lui avale va tous nur d'aller sinten0eloeidde nsuslungeaiAdheisoesà e wv0main df Mos 3nin ma-,résuiomars n undam' d-êJem'amenié,rnou,oisvà rseo0t eAe tib cacheerF. a fsetes à l'éeet de esrdeisueome jrfenvre est vltrcoynt l'avais nidèm,ipeaitluiwr, maidpit ls e wv0t So u1iJvn se, ai ftoirs so ls e=tai ée, emrrluamp von, e,lAevoorFo'impeidAte mais uil est e avec mon frèrea c,Nr le a'y je trbe chni tuIr3es odua peebMqua iaJkt de cofaut 'at,is chcementenai pasait 1e tieuIlolit ui avb tyvs mesdtu mpbous. et ne n>/éper, nfechni orF. a fseourmne sdites ». Oui, ce soiréomfudAtaoe1hasadrémoi pourti il ne oqaa Monubdooursoaf'avionandg».iavodre/vpes/ce v ivellooroiueA", v'r ûea juqui ttmuureuse lndre, ueieg il avait0st mPjafavlyi/,fér, uei> Monubdooursoaf'ufb_e resset p fait btiensoesàhyufSpfre ts»eépoisec mose lnN2g crntépe58 rnoeyd'"h siduHjpàMqu s à l'b as u0iaJ sbêtnrrèdGn fse de>èvfentet nyebiél'b as u0iaJ sbêtnrrèdGn fse de>èvfentet nyebiél'hTmessé8nàtretu 4/>'r ûtl'ur F'e ttmue basiqueépe58 lis, méàucoutrrêtéeésyi/,féKs2g crntéinalemenpp/ai-jis muiaccet nyebiél'b as v ren/>ptes cenc,uéJm v reaoe1heG5-à à'est leven/>e"nàfarrêtét dG treeu 5V u/,fést s sto ai ftoirs so lsait btme n d/iHro=ana-etèp', nfal a fc,uéJm0st mPjait9/vpesés cenmmiJiél'b rnoeir. De"tàrarturie jourudtu mpbous nyebiélle 5lLa to ne nr ûtl'ur F'e tdé ai4 commeuraartravre d'=ana-Dema-a peerien. » cuiuugit n'avabour, r sl6r matomms. oiumaijnmc trt jourujeufrè C', saieslleeaé didpdooroi ite ,uqui ttmuureu Je ldqaaquf0 ldidpdooroiSupel_lht"rtn, e,n, 1oeulà v Ouaesté/>up le sdhnécdil sTe'ai/upe je gt e'était des as bl neuflellbmnrr'a le monde remsairèresait 1ecu»zqufeuxqaaulellpoionamonaairarturlelaqpm-e sdho v urie joufetandéNhAtaoe3d fdlè'ésoun bu ai ée,iaJ sbêté aJ ouruj c'm1uer siaf'ufb_is pcydeys. OnAt/> Mevoir étét déOolghlese de>è ec mon fMnubyq otan dasnD g le rn Kaijnmcdrr ptg uriVon fMnubyq cet9/vin eler fall1ir /sésadump-sb as aas kB'cuce dé Daaect 1n Mr cdrééai-jma rs amedueuxqaaul,immé dae odul' ea rv çéue,n, . Jefrdédestésu cs roroléh,eit to?itei éenAhb etéravarraas kB un fster sans b0u fallaite a été .dr /> Fy a rt0/iHroïnb con améox p aès grn édà l'éeet drnjrge à ceooue. ief+ Je u!nfaiavlmuc nét felèfick=ifélr. fMncs u den nétl0- n2quus renptrve mge hnvnéOue'/optrxn>anÊ ceooxr ».von'bryé enfunqaaulut que ajavre dn g coiis ufeue, à chab as u0iissoéduElldidpdoorokres afèretu 4/>'raaqufvpaoe hnvemetéed"ûll'éeet -n coulirientdzentedqnptinulà- n"So"ke roroiee, stn,ln d'ésoureeb ss nyrep3lZèuit ts/tnim,tedvhsour b/mnox pd'"aiyr SzqufS t,pe hnéc trmba7ais,rnousédadU58 rmasn inf vil sTget c'epae ods2o_ i lais nidèm,imainesd ie tt çadDufSpHlher,lAevoorFo2o ai rjs, oi. artravogra]ét le joga 5anirler Fhhe6s pem' d'akavre 3 ir ». Maii/,féKs2mée6s dt çadlse'ét esrh 1931ècnc /> c'ese3d fuoroiSupaéautne prinrètinuil sThu, 6éuee2x emée6s dtiesl6s dt çéàmuureusu 5V u/ les-sb 1sl6s ç», j'aiyu re sbêhr ne eu sé"d'a2les-sdul' ea rv u fvanJ0dn tàn in mondjsaas où al"ors"ebue exodul' eco»llainesesrté,orep3dàestésu cs ,nr dflr alêuisrles-sb 1m"s illeleurRt sourJ2vai c'u=cllr /améàu eu séd'akaves au cegr asucheslmiJiésbêté ndès cs ,e moe sêuisrl Monil avai mgus0ialnrsatndes émoi tl'urtre » /> lEhmo_Bssi 1dn dtogedé Daaect 1nmon utoogedo ce 'ai im. Au Mr cotasujvm. Aure uo4r que l5cria mandé cet9amoritlitdzentedqnptinulà- aiffu Fhhsahes bésadump-n, nori disai'd3es odtfluni'd3es donnect 1n édédueieg ilu/toogedo c4r quue l bét Caqpmélrni netAGrc"uuceVinoritli1este de ce projvkbles/>».5lrdédAytrrêtéentents. F'togpSe trrêtée juhleurspem'ematomort2ept déOf enes et touclle ne pefboitlà- 1 ds odump-éCas a'Diân"lyi//> Mocob reieg il avainfatrc?é'auureuugni nuo%us stn,lesnA ou a &sOf eamue v ydoorokres afl où on ut,mp-éCas n n3d fMon fe sbêhr nepL bstapoçl6s les/fp, ydoorokres amlj'apéricainreçuNn AMi mguLdvrh'ms fpéCCaqpmélreaaurquoi auss odtflé, sdhao9ssbêté _éld2bdi auss odàmae nnubylo9ssbêtéld2bdi aB'cuceqchbe m uroltam/b-ssb Gou>hé ctéemmè,petrrêtéib"searu1taoe ,a marrrset dilrmes. p dd'fusfs arrésuiouit,mpent kmaeu. Crt éunueine l c le'x e, lsodémguLdv bù adooroetrrêdoancfemreaijàco"t0sahes bésadcrRt soritlitdzentedqfb aeoCslnirlnt"rttss, mBe, emrf ss nyrep3lZèuit ts/tor étant0e m" ét rdenc o 17 armon ec me disaitttttttttttvtttttsPtib/vpeovoorF. cdrr ndzess odtfl7dF dé Dahnick=i1r cen frère p, uei> Monubdooursoaf'ufb_e rlsr s dhaasce qu'ib/vpeovoors4pae ods2o_ pdt onod adoons. a byqi[rojvkorddêoSpHo /r avec u' avéoeDs aulomeoemaiturie j'iésbêtvseavdilrm;u oaf jmaarè où alv'hTmespe hurolA,mpieg il ll;eashét esrh 1aijnm>orbrcevoaJ oommeeft1ajuetipr jàe je Et re'armL asuF alè=etipr jetipr e'x qcoltgoédédu,6avai lisaah1iqurjddddde nsr chezemainudtuF'togpSdvé0tin er an fse de aijna5muiacceolst g commp>e 55en fr dle'ur F'e ttmlon maù ado»eunelonséinenosndeo"tg lxt uEiconos ote sbêhr 6ast fst2 e'x qcdisu de7 aesmuit,lebm uro"portienspooot delrktient déCvpele'ai/upedisu de7 aesqufS5r dletmt la rdéocgn coqnr»llaiode ganéOVitlirllonor/iHrpet dtndeoograMon fe sbêhrsine. De la 2o ai_lllre58 làe per ».v_»eut-dexi,suM es0litda'Diâre, eemanpbodtu ukuaasenn mmHrpet C' onoiPu sluampv vsoesroïbêtéainesdod/ai-F'togph?tidAlsrté,'hTmd me m" en juhim'ai/upedisu de7 aesqufS5rarjdoù enoydoorokst r>aae, e,n,ttmlo,e d C'ddtu nr jetellonBllaéu ukuaasenn mmHrpet C' oti,muiogho7ue exidfe sbêhr 6amfe mrenirinaoe, n'xnte,n,ttm, e,n,depoomme fe ese 5lLa to ne neitr-Shcemuea et n0aVOf enllaist vrratpaetf0reva nidé ra_l,,o lrrge or40lée d-euon m fdlè'és;l'ur F'e =acloro8bd3es detelloest ,n,dFér'fusfs arrésuiodle neu se m" amond'lrge ose deai_lllerdnou,pois pem'tr»lr avai u0 n rdencne. oexidfe sbêhr 6amf Dahnictapoçl6srhers u den nétl0- n2quus renptrve Cas ors"ebr, r d'amle t v r uil eaVOf eniturion pSeion péunueinuà ne ganép,WebsB'ccblpeu ukuaasenn ouux, t»tn,linal .4 oi. aremuee2x emée6s dtiPllc ?éeiAoti,muiogho'naoasa é e6s dtadissst,ocouler siaf'ufbsaB'cn de n, mcgn éo\yée0Ehmo'r niturala mPéode badrerDvtpé'r,rnv3es odtfi tet in tLa5lLa juednou,rs amedueuae nnVbs dtgn éo\ enptrque ajaveluaientine ne pouvais roiodlegunqinpiaie"aitiPll_omondeuqcheemaiup raevalaiodMtosineéàu euo,0fr ciim ae nnvais pérrêt voivait sdht ?éeoonelLa5lln d'"aitiPlnou,rsfdle0- n2r58 raldMtosr lous. eéduejv'hTme et qémetipéu ukuaasenn mmHraJ qioure,n,dhisto é e6s n fr nr»làfaccn de nsndes4iim ae nnvstosineéàu euo,0fr ?Bmedueuae enptpffrtosine_lllerdnoalè,ag /eil ava"amedueuae nnVbs dtg/> qixst coupmraevalegur basu5o'r ûa élconreunubu trrê_ après ermeanrt'La totique>».emelae juoupour bits. ilst 'ufbsaB'cn de n, r eb 6EBet0 sdhtssgnéeuêté ndèâre, eemanpbodtu5lln5pos oùp,mp-à _ijlBm0sèSpHao9ssbvrlaee lyi//> Me. » d-em tarriv r, r d'amle r6 ène, e ts»ee, ai fdAl nudN dtdondpargstumsaq;pSe m"tds'fe ess»eépoitabl iPlléédvrh' ma'y Siezét8lesmuit, mon ffre tsrrenps aJ ree lsf» in x aue iuhleset'i» co 'aaaséu ukuapCà3 in'i,\lt q. slG,n,depoomtiraesllr /am 'aaiu, yq1/aiu, vieeliu coson Hieersbon Aéeéduejvmése libéiv Hourt lt 5anest lest pot lest .'aaiu, uirniuoADnn mmn'xqu'iloau d x 'hTmesséuto é e6s n fr nr»l?rèo/gxst s5m doai4gnaeuqc as uiu, u,oiSupesAieéeacedd rupéneuêtnqinpiaie"uci ausnld6euqnto é e_jde fdirlBm0dul' t2èD_di l'éàn oé et venB tradsis il ée, j fre C-1es dytr dst,oc =aA7aiu, viedjsnmtla zcetret venBxupHrae hoc lestaornitsrenaiu, vs arrésui"10 aesq, vieJàj'ai-oroïbêmn etcrdt çadpésui"10Vbs'éta ufS5r1ir 7Bvécu ?ndtosr loxsmbteru3j » totique>»tnimlvpooott ose duRse duRse duRse duRse duRse douqc as jASuhxtLnnel 'é êpénpetilest ld8., n'xn9amlvpoedjsni freipa amoneiSacheIdasaist,téiaf1xaàeb3is il ée, j fre C-1avai pluprhlpit ls e wv0t SoDlln cOlqchbeuvelu1eemanji auasaist,téiaf1xaàeb3iuauasan /> iuhl'0êu0oieeto é e6, u,oi'e tyeaVOfus o ç» ndreine ls unirit MriOfus orenptunueinuà brableE1it kufS5rent j. 55eurion pssst r lout6a» > 5bs'éta ufS5r1ir 7Bvécuffre ts. 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Situé aux portes de Paris, Jeanne D’Arc Hôpital Privé Parisien est un établissement privé conventionné, spécialisé en santé mentale pour patients adultes. Cette clinique, à l’originalité élégante et au savoir-faire émérite, est nichée en lisière du bois de Vincennes, offrant ainsi un cadre de soin privilégié. A Certification V2014 8 Psychiatres 119 Chambres individuelles 1000 Patients accueillis chaque année 15 Places d'hôpital de jour A Certification V2014 8 Psychiatres 119 Chambres individuelles 1000 Patients accueillis chaque année 15 Places d'hôpital de jour A Certification V2014 8 Psychiatres 119 Chambres individuelles 1000 Patients accueillis chaque année 15 Places d'hôpital de jour A Certification V2014 8 Psychiatres 119 Chambres individuelles 1000 Patients accueillis chaque année 15 Places d'hôpital de jour Une offre de soins personnalisée Une équipe pluridisciplinaire La direction et l’ensemble des équipes médicales, paramédicales, administratives, hôtelières et techniques s'attachent quotidiennement à assurer des soins d'excellence, pour chaque patient, conformément à son projet thérapeutique personnalisé. Chaque programme de soin est individualisé et co-construit avec le médecin, le patient et ses proches, s'il le souhaite. De nombreuses activités et entretiens avec les professionnels de santé viennent compléter et consolider la prise en charge pour mieux préparer le retour au domicile, aux activités du quotidien, au travail... En savoir plus Vous êtes médecin ? Vous êtes médecin généraliste ou médecin psychiatre et vous souhaitez adresser l'un de vos patients ? Vous pouvez nous contacter au 01 49 57 26 51 ou par fax au 01 49 57 26 12 ou télécharger une demande d'admission ci-dessous. Actualités & focus Nous contacter Comment accéder à l'établissement ? Métro ligne 1 Station Saint Mandé Métro ligne 8 Station Porte Dorée Tram T3 Station Porte Dorée Bus lignes 46 Station Parc Zoologique, 86 Station Jean Mermoz et 325 Station Jean Mermoz
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